Typographie & Arts graphiques

Cet ouvrage a pour origine un livre de mobilier Adirondack offert à Philippe Weisbecker par une amie new-yorkaise qui travaillait dans un quincaillerie. Vingt ans plus tard, il en fera la base de ce livre.

« J'ai toujours aimé les meubles rustiques, fabriqués à partir de souches, de branches ou de morceaux de bois. Au départ je voulais reproduire fidèlement les meubles figurant dans le livre. Très vite, je me suis aperçu que j'étais surtout intéressé par le squelette de ces meubles, leur structures et les vecteurs de force qui les régissent. Petit à petit, j'en suis même venu à me libérer de ces paramètres pour en arriver à des compositions structurelles plus simples, à mi-chemin entre figuration et abstraction ».

Réalisé avec le soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

David Rault raconte l'histoire des caractères typographiques et de leurs concepteurs en bande dessinée. Vous connaissez ces caractères, que l'on retrouve partout dans les logos des grandes sociétés, les packagings, les logiciels informatiques... et maintenant David vous montre commente ces femmes et ces hommes ont forgé le design de notre société moderne.

Véritable « Bible de la typographie », lauréate du FILAF d'or 2017*, cette collection de sept ouvrages encyclopédiques uniques et indispensables retrace six siècles d'art typographique, de Gutenberg au XXe siècle ; une synthèse historique et technique sans équivalent dans l'édition francophone, rédigée par dix-neuf spécialistes de renom : Yves Perrousseaux, auteur des trois premiers volumes et instigateur de la collection, Jacques André, Christian Laucou, Frank Adebiaye, Charles Bigelow, Matthieu Cortat, Nelly Gable, Paul-Marie Grinevald, Roxane Jubert, Alan Marshall, Christian Paput, Manuel Sesma, Hervé Aracil, Thiery Gouttenègre, Franck Jalleau, Olivier Jean, Thomas Huot-Marchand, Rémi Jimenès et Alice Savoie.

Les sept volumes de la collection ont été réunis sous jaquette dans un magnifique coffret, et cet ensemble précieux, riche de plus de 3000 illustrations, sur plus de 1900 pages, dédié aux professionnels, aux enseignants, aux étudiants mais aussi à tous les amateurs de la lettre imprimée, nous donne à voir la typographie dans tous ses aspects et saura à coup sûr aiguiser les curiosités et servir de base à de nouvelles- explorations et de futures métamorphoses.

Super Cahier n°1
 
Observer, comprendre la diversité des lettres de l'alphabet et la multitude des contours que chacune d'elle peut revêtir, tel est l'enjeu de ce ''super'' cahier destiné aux enfants.
Au travers de 26 lettrines à colorier qui se transformeront en autant de puzzles à reconstituer et d'un jeu de cartes alphabétique, chaque enfant pourra apprendre à reconnaître les lettres de l'alphabet dans une douzaine de formes différentes : capitales, minuscules, italique, scripte, etc.
En manipulant les cartes, il découvrira la richesse de l'univers typographique, en sachant nommer les différences: larges, étroites, grasses ou au contraire maigres, avec ou sans empattement, droites ou italiques...
Il pourra reconstituer l'ensemble de l'alphabet dans une forme typographique donnée ou jouer au contraire à composer es mots en juxtaposant des formes différentes.
Un cahier ''trois en un'' pour apprendre en jouant.

Dear world you have made the persons slow uses the World Health Organization's collected 2020 press statements about COVID-19 as its source material. Composed using blackout poetry, the project casts light on the ongoing and mostly unconscious consumption of online information. In reproducing the affect of online communication, these poems are both violently abridged and easy to consume.
In a world filled with transnational commercial chains, empathy and solidarity tend to stay local; the sudden violence of a worldwide pandemic paired with personal crises raises long overdue awareness for a more global concern for other subjects as well. Dear world you have made the persons slow contains potential further worldwide statements and there, they just need to be dis-covered.

Elena Kaufmann, born in 1992, is a contemporary artist based in Berlin, working primarily with poetry and language.

COISAS QUE MATAM (THINGS THAT KILL) is a label of the present, unleashed to publish sound and visual works afflicted by the now. If there are things that kill, there are also those that ignite and exhort. Since 2017, Stefanie Egedy and Simon Fernandes have been creating this circumstance between São Paulo and Berlin.

Second edition, 2022

JAPANESE / ENGLISH

Drag & Draw met en lumière deux séries de dessins parmi les premières oeuvres d'Andy Warhol, alors qu'il commençait à explorer le sujet controversé mais néanmoins très personnel du travestissement. La première est consacrée à des dessins de femmes d'après des photographies et la seconde à des portraits d'hommes posant en drag queens. Reproduisant un grand nombre de dessins encore jamais publiés, cet ouvrage donne à voir la fascinante culture du travestissement du New York des années 1950.

Le catalogue "déraisonné" du musée de l'Imprimerie et de la Communication graphique présente le témoignage de cinquante auteurs - imprimeurs, graphistes, conservateurs, bibliophiles, libraires, chercheurs, savants - qui évoquent leur attachement à un document issu des collections. Richement illustré, l'ouvrage permet de retracer l'évolution du monde graphique. En cinquante ans, les techniques plomb héritées de Gutenberg ont été bouleversées puis remplacées par la photo­graphie, l'électronique et l'informatique.

Aujourd'hui les modes de production, de diffusion et de consommation des produits graphiques sont profondément transformés par l'avènement du document virtuel et des réseaux et médias numériques. L'ouvrage permet d'aller à la découverte des collections du Musée qui n'ont cessé de s'enrichir depuis sa création en 1964 par Maurice Audin. Elles se sont ouvertes à l'ensemble de la communication graphi­que : le livre, l'estampe et la presse écrite mais également de nombreux documents utilitaires, quotidiens, souvent éphémères qui sont, depuis plus de deux siècles, parmi les principaux moteurs de l'innovation graphique, l'une des principales sources du monde visuel qui nous entoure.
Une véritable rencontre intime et sentimentale avec les lecteurs autour de la mémoire - et du futur - des mots et des images.

Textes de Gustave Flaubert et Emanuele Trevi.
Illustrations de Nathalie du Pasquier.
Conception graphique : Maxwell Studio – Teresa Piardi.
édition italienne

FR
L'édition italienne du récit de voyage en Égypte de Flaubert, illustrée par Nathalie du Pasquier.
En 1849, à l'âge de vingt-sept ans, Gustave Flaubert part pour l'Orient en compagnie de son ami Maxime Du Camp. Il n'y a pas d'itinéraire précis, l'idée est de se familiariser avec les coutumes et les grandes religions de l'Orient. L'essentiel du voyage se déroule en Égypte, où l'armée de Napoléon a combattu un demi-siècle auparavant. L'écrivain a ainsi transcrit les impressions de son voyage dans un carnet, tandis que Du Camp s'est concentré sur la photographie. Mais c'est dans sa correspondance que l'on trouve les documents le plus saisissant : les lettres à sa mère et à son ami Louis Bouilhet sont pleines de vie, d'anecdotes, de récits, de descriptions et de réflexions. L'écrivain ne recule devant aucune expérience, et l'Égypte prend ainsi vie dans toute son immédiateté, la dimension exotique se mêlant au quotidien.
Cette édition, la plus complète parue en italien à ce jour, offre au lecteur un livre à la hauteur des chefs-d'œuvre de l'écrivain français.
Designer, sculptrice et peintre, Nathalie du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) fut l'une des femmes du groupe Memphis qui, au début des années 1980, su faire bouger, autour d'Ettore Sottssas, les lignes du bon goût et les frontières de la société de consommation. Installée depuis à Milan depuis 1979, Nathalie du Pasquier a par la suite repris une intense pratique d'atelier et entretenu des rapports de bon voisinage avec ces objets du quotidien qui ont fait sa fortune pendant l'ère Memphis, et bien après, dans ses toiles aux compositions minimales ou ses modules géométriques. Cette capacité à circuler entre les formes et les pratiques, jusqu'à la « redécouverte » récente de son travail dans le champ de la mode qui a fait appel à ses services au milieu des années 2000 pour redessiner des motifs post-Memphis, est sans doute ce qui caractérise le mieux cette artiste atypique née en 1957. Et explique sans doute pourquoi son travail, jusqu'à récemment encore, semblait voué à une certaine marginalité.

EN
The Italian edition of Flaubert's account of his trip to Egypt, illustrated by Nathalie du Pasquier.
In 1849 at the age of twenty-seven, Gustave Flaubert set off for the Orient in the company of his friend Maxime Du Camp. There was no precise itinerary; the idea was to get to know the customs and the great religions of the East. The mainstay of the journey unfolded in Egypt, where Napoleon's army had fought half a century before. The writer thus transcribed impressions from his journey in a notebook, while Du Camp concentrated on photography. Yet the finest material emerges from his correspondence: the letters to his mother and to his friend Louis Bouilhet are full of life, anecdotes, tales, descriptions and reflections. There is no experience the writer shies away from, and thus Egypt comes to life in all its immediacy, the exotic dimension blending with the everyday.
This edition, the most complete to appear in Italy to date, provides the reader with a book on a par with the masterpieces of the French writer.

Gustave Flaubert (Rouen, 1821 – Croisset, 1880) stands among the very greatest of French writers. We might say he lived his entire life in Croisset, near Rouen, faithfully following the discipline of a wholly inner life, in a passionate quest for elevation and artistic creation. His outer life was somewhat lacking in events: a trip to Brittany (1847); a long journey to the Orient (1849–1851); a number of winter stays in Paris (from 1857); the love of a muse, Louise Colet (1846–1855); the death of his mother; the financial collapse of his niece, and the ensuing economic hardship. His biography is basically the story of his masterpieces. On returning from his Oriental travels in the company of Maxime Du Camp, he wrote Madame Bovary (1857), the novel that would make him famous and lead him to be tried for immorality: a trial which would come to an end with his absolution. In 1867, he returned once more to his youthful project of Sentimental Education (1869), a work that would mark the full maturity of his genius.

A famous designer and co-founder of the Memphis group in Milan in 1981, Nathalie Du Pasquier (born 1957 in Bordeaux, France, lives in Milan, Italy) accompanied the (post)modern adventure around designer Ettore Sottsass, with the creation of objects, fabrics, carpets, and furniture. In 1986, she started devoting herself exclusively to two- and three-dimensional painting. Memphis's radicalism and formal inventiveness measured solely in terms of a scathing and iconoclastic postmodernism erased a little too quickly the adventure's modern foundations. Nathalie Du Pasquier's paintings are a perfect revelation of these connections: axonometric compositions applied to painting, the palette of muffled colors, objects, when they are present in the compositions, wink at the purism of a Corbusier or an Ozenfant. Mixed with memories and assimilations arising from the most tridimensional Suprematism–the architectones–some paintings and constructions also give prominence to this history of art and the applied arts.

Lors de sa parution en 2005, ce livre s'est rapidement imposé comme un ouvrage de référence. Il a contribué à la reconnaissance du graphisme comme un domaine de création majeur en France. Si cette discipline a vu le jour grâce à la typographie, son champ d'action s'est élargi à l'affiche, l'édition, la presse, la construction d'une identité visuelle, la signalétique, l'habillage télévisuel, le web... Le graphisme dialogue aujourd'hui avec l'architecture, les arts plastiques, le design, la mode, la musique, l'audiovisuel et le numérique.

La nouvelle édition de ce livre, riche de plus de 1000 illustrations, est augmentée d'un chapitre sur les années 2005-2020 qui témoigne de l'extraordinaire vitalité de la création graphique française de ces dernières années.

Michel Wlassikoff, auteur de plusieurs ouvrages consacrés au graphisme et à la communication visuelle, a dirigé de 1991 à 1998 la revue Signes qui fait figure de référence dans ces domaines. Il a assuré le commissariat d'importantes expositions concernant le graphisme passé et contemporain, notamment au Centre Pompidou. Il enseigne l'histoire du graphisme et l'analyse d'images au sein de plusieurs écoles supérieures d'art en France et à l'étranger.Il a également publié Exposer / S'exposer (Éditions du Panama, 2006), Mai 68 : l'affiche en héritage (Éditions Alternatives, 2008 ; rééd. 2018), Futura. Une gloire typographique (Éditions Norma, 2011) et Les Affiches qui ont changé le monde (Larousse, 2019).

The publication offers a foray into the experimental photographic and filmic practice of Ion Grigorescu, arching over a period between 1964 and 1994, following the particular way in which the city of Bucharest is approached by the artist.

Although Bucharest is not seen as an independent subject, it still remains present in the background, going through the extremely varied stages of Grigorescu's work. The publication BUCHAREST thus reveals the artist's commitment to a way of working that we can associate with the phenomenon of "amateur politics". Present in the former Yugoslavia (in amateur film clubs), in Poland (Lodz experimental film school), in Hungary (Balázs Béla studio), but also in other countries, the phenomenon of "amateur politics", recognizable in experimental film and photography, reflects the special interest of artists for the urban space that has become the subject of artistic research.

In the case of Ion Grigorescu, his non-normative work system advances a type of image construction that rejects linearity, the narrative, preferring to record the episodic, the transient, the poetic, to render the most banal act, the urban ruin. Photography and film thus become research tools of everyday life, of brutal or, on the contrary, imperceptible transformations of urban reality, towards which Grigorescu assumes a position.

Ion Grigorescu's Bucharest is a Bucharest lived and recorded subjectively, often dual (day and night), captured either by chance in the artist's daily journey, or reimagined and rewritten by his dreams noted in the diary. It is a Bucharest that is gradually revealing itself, with its problems, with its limits, with its ruralized spaces on the edge of the prefabricated housing neighborhoods, a Bucharest of the gross remodeling after 1990.

The particular way of looking and subjective traversing the city by Ion Grigorescu is analyzed by the texts of art and architecture historians Juliana Maxim, Carmen Popescu, Alina ?erban. At the same time, the book includes a selection of texts from the artist's journals that accompany the publication's sections.

P + 4 Publications is a small publishing program founded in Bucharest. Dedicated to contemporary Romanian photography, art and architecture, the program explores the book environment as a meeting point between theoretical research, graphic design experiment and ideas and topics addressed by artists in their practice. The program was supported between 2013–2021 by the PEPLUSPATRU Association, and since 2021 it has been developed and administered by the Institute of the Present.

Le travail de Philippe Weisbecker est une recherche de la simplicité, et de l'essentiel des sujets qu'il dessine. On perçoit une attention, une humilité, et un plaisir à retranscrire honnêtement le réel le plus prosaïque, celui de sa cuisine, de sa rue ou des rayons de la quincaillerie du quartier. En magasinier bien organisé, Philippe Weisbecker procède par série. Ici encore, avec un ensemble de gares et de petits transformateurs électriques. Joyo Oh ? Le nom du fabriquant espagnol de ces jouets ferroviaires, reproduits dans le facsimilé fidèle d'un cahier de dessin réalisé en 2019.

Affichiste publicitaire, Rob d'Ac (1891-1963) fut avant tout passionné par d'incessantes recherches tant sur la couleur que sur la lettre.

L'ouvrage, en deux parties, présente d'abord des animaux familiers - ceux des Histoires naturelles de Jules Renard - dessinés avec les lettres de leur nom, ensuite un alphabet très personnel, exécuté à la gouache avec une palette de couleurs vives.

Illustration : 56 dessins en quadrichromie

Lorsqu'un produit est étiqueté "Made in Japan", il s'agit souvent d'une promesse de qualité, et la clarté, l'ordre et la précision des dessins japonais garantissent que la réputation n'est pas exagérée.

Connus pour leurs lignes épurées et minimalistes, les styles emblématiques des dessins japonais sont admirés et imités dans le monde entier. Véritablement à l'avant-garde de l'établissement d'une identité nationale en matière de dessins et modèles, il est le premier exemple de culture-réunions-design, mêlant l'histoire, l'art et la philosophie traditionnels aux dessins et modèles contemporains.

Avec la mise en lumière de 40 créateurs locaux à l'origine de toutes sortes de projets dans différents domaines, Made in Japan s'étend de l'identité de marque à la conception spatiale en passant par les illustrations, et plus encore, en examinant comment la variété est maintenue par l'influence d'une culture commune.

"Toutes ces ponctuations, ces traits, ces points, ces perforations, ces stries, ces barres plus ou moins larges qui s'étalent à ses pieds lui font brusquement comprendre que ce qu'il voit en contrebas de la baie vitrée n'est pas sans rapport avec les vingt-deux dessins étalés sur la table de sa chambre. Rouge, vert, bleu, jaune : les couleurs des taxis et des voitures circulant à ses pieds. Sur les dessins, le rouge et le bleu ont disparu. Restent le vert et le jaune."

extrait de "Lomo Reticulens" une critique-fiction de Brice Matthieussent pour MIX.



Laurence Lagier vit et travaille à Marseille.
Elle a exposé en Chine, en France et en Belgique.
En 1999, elle obtient une résidence d'une année en Chine et commence un travail photographique sur la circulation dans les grandes villes.
Depuis, elle développe une réflexion sur les notions de répétition et de variation se traduisant sous forme de dessins, peintures et photographies.

papier: Invercote une face 240 gr / Affiche Artifice 85 gr
façonnage: trois agrafes à plat

Une histoire de mousses toutes douces, avec deux niveaux de lecture, servie par un graphisme à la fois simple et poétique pour s'adresser aux tout-petits. Deux histoires à lire ensemble ou séparément pour deux niveaux de lecture adaptés au développement de l'enfant, de sa naissance à ses trois ans. La première, en forme de court poème, joue avec la musicalité des mots. La seconde, plus longue, raconte l'histoire de ces mousses toutes douces qui poussent sur les pierres et deviennent tour à tour sourcils, moustache, chaussure et couverture.
Il fallait tout le génie créatif de Katsumi Komagata pour imaginer un traitement graphique à la fois simple et poétique adapté aux tout-petits.

Un coffret de paper toys et nombre de leurs accessoires liés au thème du voyage . Ce coffret est associé à un site internet où ces figurines de papiers peuvent s'animer (réalité augmentée, galeries photos collaboratives et créatives.)

Démarche singulière que de rejeter l'émergence du ''multicanal'' à l'initiative du support papier.

Coffret en plexiglass contenant :
6 Paper Toys : Isy Cureuil en kit, Gunièvre du Parcgiron en kit, Augustin Tempestifs en kit, Pacha le chat en kit, la demeure d'Isy, le lit d'Isy

1 petit livre sur historique de l'origami au Paper Toy
1 recette en Paper toy (Poppy Cheesecake)
1 sachet de graines de coquelicot
1 sachet de Gunnies'bands
6 Cartes postales,
1 pop up
1 pliage d'amitié (enveloppe pré-timbrée dans laquelle glisser un pliage porte-bonheur), billet et passeport d'Isy
1 carnet d'écriture
1 vrai timbre
3 faux timbres
1 patron du kimono d'Isy
Des stikers
1 crayon
1 ciseau

Ever since the 1910s Zurich Kunstgewerbemuseum, or Museum of Arts & Crafts - which was founded in 1875 and is known today as the Museum fur Gestaltung Zurich - has been focussing on producing high-quality posters to promote its exhibitions.

The posters serve to project the museum's visual identity into the public space while at the same time documenting the variety of themes presented there. Their high recognition factor is achieved not through rigid corporate designs but by means of graphical quality, versatile design approaches, and meticulous printing.

By the 1920s, the pictorial scenes of the early days were already being supplanted by graphic and typographic solutions, following the lead of the Russian Constructivists. Formal and substantive reduction was characteristic of the Swiss Style, which - whether rigorous or more playful - dominated the Swiss cultural poster until the 1960s.

From around 1970 designers began to expermient more freely, due in part to the use of computer programs as new design tools. Posters from the late 1980s impressively demonstrate how the legacy of Swiss Style lives on as a fertile resource, continually being reinterpreted in fresh new ways. Innovative approaches by young designers deliver some surprises in the contemporary posters.

SOMMAIRE :

- Quand la machine délire le dessin, un dossier thématique sur les machines à dessiner coordonné par Johana Carrier et Joana Neves, avec la contribution artistique de Chris Cornish ; un texte de Didier Semin sur les machines à dessiner et à peindre de Jean Tinguely ; un texte de Guitemie Maldonado sur le dessin de protocole et l'hyperréalisme ; un texte de Maëlle Dault sur Fabrice Cotinat ;
- un essai sur le dessin-partition par Fanny Drugeon ;
- un entretien avec Jockum Nordström par Virginie Lauvergne ;
- des articles monographiques : David Kramer par Anaël Pigeat, Julie Mehretu par Catherine Macchi de Vilhena, Michel Herreria par Romain Salomon, Émilie Satre par Stéphane Carrayrou ;
- un portfolio de Nicolas Muller suivi d'un entretien avec Julie Enckell Julliard ;
- un focus sur une étude de Jean-François Millet par Hélène de Givry et Louise Legall ;
- une analyse d'un texte de Cornelis Pietersz. Biens par Léonard Pouy ;
- des dessins de Miné Okubo ;
- une sélection de livres de Christian Bernard par Magali Lesauvage ;
- la collection du département des arts graphiques du Louvre par Emmanuel Lurin ;
- les dessins de Samuel Starck ;
- et les contributions artistiques d'Annette Messager, Astrid Köppe, Corinne Laroche, Patrick Corillon & Fabrice Reymond, Nicolas Muller.

Spaces est composé d'un rectangle blanc encadré de couleurs vives, pliable en trois bandes verticales. Au fur et à mesure que le lecteur ploie et déploie les pages, l'espace se divise, se ferme, s'ouvre ou voit son cadre devenir multicolore.

À partir d'une structure minimale, Antonio Ladrillo nous invite dans son univers visuel où un geste simple devient un acte magique, poétique et profond.